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262. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Heureusement les Comédiens ne prennent pas tous à la lettre cet abandon désespérant : autorisés, protégés, récompensés par l’état, accueillis, considérés même dans la société la plus décente, lorsqu’ils y apportent de bonnes mœurs, ils savent que si nos sages Magistrats n’ont pas cru devoir encore céder aux vœux de la nation et aux motifs puissants qui sollicitent en faveur du théâtre, c’est par des raisons très supérieures aux préjugés de la barbarie.

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