Ce n’est là ni l’objet du loyer, ni l’intention du maître. […] L’Avocat du Saint répondait, comme nous venons de le dire, qu’il n’était pas le maître de les abolir, puisque l’autorité royale avait établi ces foires et les y tolérait. […] Jean de la Croix, se faisaient gloire de représenter les souffrances du grand maître dont ils avaient l’honneur d’être les Ministres. […] Ce sont des troupes de la plus vile populace, qui pour quelques taëls vont où on les appelle, et se louent à qui en veut : ils ont une liste des pièces qu’ils savent, qu’ils présentent au maître de la maison ; celui-ci choisit, et sans autre préparation, ils jouent sur le champ dans la salle du festin pour amuser la compagnie.