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77. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118

Quand Molière donc fait voler un père par son fils, qu’il fait désirer à un valet l’occasion de voler son Maître, c’est pour apprendre aux avares de combien de maux ils se rendent la cause. […] Leur bon sens, leur probité contraste souvent assez bien avec la folie ou les vices de leurs Maîtres. […] Les « je ne dis pas cela »dm répétés sont le coup de pinceau que la force du caractère exigeait, et décèlent le grand maître. […] Tout coquin qui n’aura pas d’autres maîtres n’échappera pas sûrement à la corde dès ses premières tentatives. […] En voulant censurer les écrits de nos maîtres, notre étourderie nous y fait relever mille fautes qui sont des beautés pour les hommes de jugement. » cf.

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