Par conséquent les serviteurs de Dieu ne doivent point fuir ce que leur maître ne hait pas. […] Le croyez-vous fort agréable au ciel, lorsque couronné de fleurs comme un prêtre des gentils, ou couvert d’un vêtement aussi bigarré que celui d’un maître d’impudicité, il paraît élevé sur un char ? […] Enfin si ce divin maître s’explique ainsi dans la loi : Deut. […] d’autres preuves pour convaincre les véritables serviteurs de Dieu, qu’ils doivent détester tout ce qui appartient aux spectacles ; puisque tout cela déplaît à leur divin maître ? […] Car « nul ne peut servir deux maîtres ».