Les maîtres du monde ne croyaient pas que d’avoir de la religion, c’était se dégrader par des bigoteries. […] Qui doute que les leçons d’un maître à danser, d’un maître de musique, du violon, du clavecin, etc., ne soient des œuvres serviles ? […] A combien plus forte raison seraient-ils inexcusables, s’ils insultaient leur maître, leur Roi, si au lieu de ménager ses intérêts, ils lui causaient du dommage. […] Quoique les autres œuvres de piété ne soient pas d’une obligation aussi précise que la messe, puisque l’Eglise nous laisse la liberté du choix, ce serait s’abuser de croire qu’après une messe basse entendue, on est quitte de tout, et si fort maître de son temps, qu’on peut impunément le perdre.