C’est par là qu’il a plu au grand Fréderic, qui fait les plus grands éloges de ses piéces, marque le plus grand désir de les avoir, lui écrit avec l’humilité d’un petit écolier à son maître, & la tendresse d’un enfant pour son pere. […] Moliere & Voltaire sont deux si grands maîtres dans le dramatique ! […] Dis-moi, que penses-tu d’un Maître si reveur, Inégal, agité, pensif, distrait & sombre ? […] Nous ne sommes enfin maîtres que du présent. […] Dieu même n’est pas le maître de reformer le passé.