Tels sont les grands maîtres qui, pendant cent cinquante ans ont rempli les chaires des belles-lettres, érigées dans la fameuse université des histrions. […] les œuvres des plus grands maîtres nous présentent. […] Point de comédie où on ne prenne la même licence contre son père, son maître, son mari. […] Eussent-ils tort, convient-il de parler insolemment de ses maîtres, lors même qu’ils ont tort ? […] Les remontrances d’un père à ses enfants, d’un maître à ses élèves, d’un pasteur à ses brebis, sont-elles des médisances ?