Quelques injures que l’on puisse dire à un innocent, on craint de le défendre lorsque la religion y est mêlée : l’imposteur est toujours à couvert sous ce voile, l’innocent toujours opprimé et la vérité toujours cachée. […] Ce donneur d’avis devrait se souvenir de celui que saint Paul donne à tous ceux qui se mêlent de juger leurs frères, lorsqu’il dite : « Qui es tu qui judicas fratrem tuum ?