mêlent avec quelques bouffonneries obscènes, un abus de l’Écriture dont on ne peut en conscience rapporter que ces deux mots. […] En effet, ce sont ici comme des exhalaisons échappées du cachot ténébreux d’Asmodée et de Belzébuth, comme des vapeurs mêlées de soufre et de feu capables d’infecter l’air qui nous environne.