Notre langue est trop chaste pour nous permettre d’appeler ce métier par son nom. […] J’ai dit, avec la loi, à moins que le père n’exerce le même métier. […] La loi veut qu’il ait embrassé ce métier contre la volonté de son père, et qu’il y ait persévéré. […] Un homme du commun ne s’y oppose pas ; métier pour métier, il lui est indifférent que son fils soit Savetier ou Comédien ; un homme de condition aurait bien peu de crédit, s’il n’empêchait son fils de s’y livrer, ou s’il ne l’en retirait, ne fût-ce que par la crainte d’être déshérité. […] Il quitta enfin l’infâme métier de Comédien, et entra au barreau.