et les honorer : car véritablement ils méritent d’être chéris et respectés de tous, tant pour ce qu’ils sont rares (car en tout âge d’homme il ne se trouve rien de plus rare, qu’un bon Poète) que pour la grandeur de leur esprit, et de leur naturel divin. […] Et partant Hercule méprisant la première, et ensuivant la seconde, mérita louange immortelle. […] Quant à l’Elégie, elle est semblablement de bonne grace, et aide le style familier, le rendant plus joyeux : en laquelle Callimaque a mérité le premier lieu entre les Grecs : de manière que son pays, à savoir Cyrène, fondé par les Lacédémoniens, en fut rendu plus illustre et plus célèbre :Crinitus li. 3 des Poetes La tins. comme la ville de Mevania par Properce, lequel ne mérita pas moindre louange en carme Elégiaque, que Tibulle, et Ovide.