C’est-à-dire, de savourer à longs traits tout ce qui allume le feu de l’impureté ; & cependant encore on dit fierement qu’on suit les loix de la décence, parce qu’on s’abstient de termes grossiers, quoiqu’on fasse les peintures les plus voluptueuses, les descriptions les plus lascives, & qu’on ne perde pas de vue les objets les plus indécens.