La loi 110 ff. […] La loi Vestit, ibid, de aur. […] On ne peut regarder comme purement cérémoniaire, & sujette au changement, une loi conçue en ces termes ; on ne parle pas autrement des plus grands crimes. […] Le mot Hébreu peut signifier des armes, & des habits : mais c’est trop borner la loi, & en faire une loi inutile. […] L’Abbé Rupert, & quelques autres, prennent cette loi dans un sens moral.