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101. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390

Boileau racontait que Molière, après lui avoir lu le Misanthrope, lui avait dit : Vous verrez bien autre chose. […] Georges-Dandin, où sont peintes avec tant de… sagesse [J’avais peine à le lire] les mœurs les plus licencieuses, est un chef-d’œuvre de naturel & d’intrigue ; & ce n’est pas la faute de Molière si le sot orgueil, plus fort que ses leçons, perpétue encore l’alliance des Dandins avec les Sotenvilles. […] Quant à l’origine du comique attendrissant, il faut n’avoir jamais lu les Anciens, pour en attribuer l’invention à notre siècle.

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