Cette réflexion triste vient quelquefois troubler le plaisir que je goûte au Théâtre ; à travers les impressions agréables de la scène, j’aperçois de temps en temps malgré moi et avec une sorte de chagrin l’empreinte fâcheuse de son origine ; surtout dans ces moments de repos, où l’action suspendue et refroidie laissant l’imagination tranquille, ne montre plus que la représentation au lieu de la chose, et l’acteur au lieu du personnage.