Ce n’est pas lui, c’est sa famille qui depuis sa mort a donné au public le recueil de ses œuvres ; au lieu que la Grange a donné lui-même le recueil des siennes, qu’il s’y est vanté en Gascon d’une maniere plate & maussade dans les éloges qu’il se donne. […] Est-il de lieu au monde où un Chrétien doive rougir de son Dieu ?