En vérité on pousse trop loin la licence : les commandements de Dieu, et en particulier celui qui regarde la sanctification des fêtes sont trop oubliés, et bientôt le jour du Seigneur sera moins à lui que tous les autres ; tant on cherche d’explication pour l’abandonner à l’inutilité et au plaisir. […] qu’on ne cesse de nous alléguer pour autoriser la licence, exige, comme on a vuCi-dessus, n. 25.