La férocité Angloise est un peu tempérée dans les piéces de Crebillon, la licence des Italiens est tournée en galanterie dans Racine ; la gravité Espagnole en philosophie, en politique dans Voltaire & Corneille. […] La superstition dramatique & le culte du Dieu Moliere ne sont pas moins ridicules ; on adore les platitudes, les bouffonneneries, les licences, les impiétés, la morale antichrétienne du grand Lama de la scéne, bien plus méprisable que les excrémens de celui du Thibet.