A l’égard des Comédiens, il leur prescrivit des règles, et leur laissa une liberté dont il ne souffrait pas qu’ils abusassent. […] , Conveniet Satyros ; ita vertere seria ludo, etc. » Et nous voyons qu’on ne prenait pas les libertés que Plaute s’était données. […] Ce Poète a été généralement loué ; il évita les défaut d’Aristophane son Prédécesseur, qui attaquait ouvertement tout le monde avec une liberté qui allait à l’excès, celui-ci reprit les mœurs déréglées sous des noms empruntés. […] Que les gens du monde ne peuvent s’empêcher de louer ceux qui ne vont pas à la Comédie : Qu’ils seraient scandalisés d’y voir des personnes qui font profession de vertu ; et qu’on regarde communément la Comédie comme un lieu, où la Religion n’a que faire, et où l’on se moquerait d’un homme, qui trouverait à redire aux libertés que les jeunes gens s’y donnent.