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277. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

Mais sitôt que ce même peuple commença à s’agrandir par ses victoires qu’il se vit obligé d’étendre l’enceinte de ses murs, & qu’il se donna impunément la liberté de passer les jours de fête à boire & à se divertir, la licence s’empara des Vers & de la Musique ; car que pouvait-on attendre d’un Villageois ignorant qui n’avoit plus rien à faire, & qui se trouvait mêlé avec le citoyen ? […] Il lui fait offrir sous main de lui rendre sa liberté, moyennant quatre cent mille ducats ; Clément en paie cent mille & s’évade avant de payer les trois cent mille restans. […] Maximilien II sollicite auprès du Pape la liberté de ces deux points. […] Critias ou Crinias, célèbre Médecin, qui parut quelque tems après Hypocrate, Liberta Capitaine intrépide qui assura la liberté de la Ville, en poignardant entre la Porte Royale & la Seconde, le lâche Cassant, Consul de Marseilles, qui devait la livrer au Roi d’Espagne en l’an 1596, &c.

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