Je suis fils de Brutus, et je porte en mon cœur La liberté gravée et les Rois en horreur. […] Le temple de nos lois et de la liberté, Erigé par nos mains et de sang cimenté, Où des débris du trône et de la tyrannie, D’un peuple indépendant s’élève le génie. […] Croirait-on que jusque dans la préface, où il n’est point question de rôle d’Acteur, mais où l’Auteur parle de son chef, on ose dire sur l’assassinat de César : « Brutus est véritablement plus grand que César, puisqu’il y a autant de gloire à rendre la liberté à sa patrie que d’infamie à l’en dépouiller. » Voici des vers que Buzembaun n’a pas composés : il n’était ni Français ni Poète.