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290. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379

Je ne défendrai pas Alexandre & Vinceslas ; mais Bajazet ne mérite aucune censure : les deux amours, le tendre & le furieux, qui s’y trouvent réunis, ne peuvent que donner une double leçon au Spectateur. […] De quel charme seront accompagnées les leçons ou les exemples de la vertu, transmis par une Citoyenne honnête, plus considérée par son mérite que par ses talens ! […] [Ajoutez à ce trait celui d’Angérone, déesse de la Peine, toujours placée sur le même autel, à côté de l’image du Plaisir : quelle leçon !]

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