De grandes tirades, des Vers à prétention, un nombre infini de maximes, certain entortillage de mots, & un langage affecté ; tout cela nous tient lieu du sublime. […] Celui qui va souvent à la Comédie, doit apprendre là façon de parler des gens du monde, & se former un langage honnête & poli. […] D’Aubignac semble déclarer en termes éxprès, que c’est avec raison que notre nouveau Spectacle employe le langage de la populace, car ce qu’il dit de la Comédie est plus analogue au Spectacle moderne.