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53. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493

Celui-ci se souciant peu de la pureté du langage s’exprime bien moins comme un Dieu, que comme un batelier. […]  » Apparemment que leur langage en ce cas sera proportionné à leur élévation ? […] Les mœurs dans le langage du Théâtre ont une signification particulière. […] Il faut que son langage pour être naturel, soit toujours étudié, fardé, empesé. […] Tel est le langage des Filous et des voleurs de grand chemin.

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