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67. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

Les Pères de l’Eglise ne laissèrent pas néanmoins de continuer après cela à parler encore contre la Comédie avec autant de zèle et de force, qu’ils avaient fait auparavant. […] Les Comédies saintes et pieuses, qu’on vante tant, ne laissent pas d’être souvent très dangereuses. […] L’on a beau les connaître pour tels qu’ils sont ; ils ne laissent pas d’être en crédit. […] « Laissez mon cœur en paix, impuissante Vertu, dit-elle, Ibidem p. 3. […] Jusques à leur laisser et mouches et rubans :C’est Ariste qui parle.

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