C’était saper le théâtre par le fondement et lui ôter jusqu’aux acteurs, loin de lui laisser des spectateurs oisifs. […] Le spectateur entrait aussi dans le même esprit : il louait et admirait un comédien qui lui causait ces émotions ; ce qui, continue-t-il, n’est autre chose « que d’arroser de mauvaises herbes qu’il fallait laisser entièrement dessécher ».