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468. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Qu’il choisisse à sa patrie les fêtes, les jeux, les spectacles qui lui conviennent ; c’est un soin que nous lui laissons. […] Rechercher les regards des hommes, c’est déjà s’en laisser corrompre ; et toute femme qui se montre, se déshonore…. […] « Zaïre meurt, et l’on ne laisse pas de souhaiter de rencontrer une Zaïre. […] Si une Chinoise ne laisse voir que le bout de son pied, c’est ce bout du pied qui enflamme les désirs. Si parmi nous la mode est moins sévère, les charmes qu’elle laisse apercevoir, sont une amorce dangereuse.

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