« Il est inutile de dire, pour justifier les Comédies, qu’on n’y représente que des passions légitimes, et qui ont pour fin le mariage. […] Cela justifie encore ce que l’on vient de dire il y a un moment pour la jeunesse. […] On lui pardonne d’avoir cherché à justifier la Comédie ; il est naturel à un Auteur comique de s’intéresser à sa gloire. […] Il a raison de dire qu’il est encore plus difficile de justifier l’Opéra que la Comédie. […] Malgré la difficulté qu’il y trouve, M.F. a voulu un peu justifier cette morale.