Ne peut-on pas dire avec justice que dans ce cas le remède devient pire que le mal, que loin de le guérir il lui donne un nouveau degré de malignité et le rend souvent incurable ?
Ne peut-on pas dire avec justice que dans ce cas le remède devient pire que le mal, que loin de le guérir il lui donne un nouveau degré de malignité et le rend souvent incurable ?