Le second moyen est encore plus sûr ; c’est de juger par les confessions des fidèles du mauvais effet que produisent les comédies dans leur cœur : car il n’est point de plus grande accusation que celle qui vient de la bouche même du coupable.
Le second moyen est encore plus sûr ; c’est de juger par les confessions des fidèles du mauvais effet que produisent les comédies dans leur cœur : car il n’est point de plus grande accusation que celle qui vient de la bouche même du coupable.