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299. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95

Jugeons, à plus forte raison, si ce Pontife eût approuvé l’usurpation et la profanation des choses saintes, faite par le théâtre, plus profane que tous les motets : « Novellæ scholæ discipuli temporibus mensurandis invigilant, novis notis intendunt, fingere suas malunt, in semibreves cantant, notulis percutiunt, hoquetis intersecant, discantibus lubricant, motetis vulgaribus inculcant, fundamenta despiciunt, ignorant super quo ædificant, etc. » La Bruyère, homme du monde, pense de même dans ses caractères. […] Jugeons si un spectacle où tout ne parle, ne chante, ne représente que les passions, peut jamais lui plaire.

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