Il s’en suivra nécessairement de cette maniere de juger des François, que le vice exempt de ridicule cessera d’être un vice, & que la vertu revêtue de ridicule cessera d’être une vertu. Pour se convaincre de cette vérité, qu’on jette un coup d’œil sur la maniere générale dont les François jugent du mérite des choses. […] Que résulte-t-il de cette façon de juger ?