L’Académie ne s’est point arrogé le jugement de la morale chrétienne : la pureté de la langue est son objet exclusif, & je la crois aussi incompétente dans la matiere présente, qu’elle l’est touchant le stile des Prophétes qu’elle a cru barbare, sur la foi du sieur d’Alembert. […] S’ils en ont eu la foiblesse, leur avis en cette occasion doit-il être envisagé comme un jugement dogmatique ?