Le moindre mal qu’ils y trouvent ; c’est leur inutilité qui les met au rang « des paroles oiseuses », dont Jésus-Christ nous enseigne, « qu’il faudra rendre compte au jour du jugement »Matt. […] Quelle que soit la sévérité qu’on verra dans les saints docteurs, elle sera toujours au-dessous de celle de Jésus-Christ, qui soumet à un jugement si rigoureux, non pas les paroles mauvaises, mais les paroles inutiles.