Quelle joie pour le bon Docteur de Sorbonne ! […] Adieu la joie ; rien ne devroit être plus gai qu’un repas, mais rien de plus morne qu’un repas en peinture.
Quelle joie pour le bon Docteur de Sorbonne ! […] Adieu la joie ; rien ne devroit être plus gai qu’un repas, mais rien de plus morne qu’un repas en peinture.