Comme l’amour du spectacle fait partie des goûts de la jeunesse, elle va aujourd’hui porter ailleurs ce qu’elle peut sacrifier à ce genre de plaisir. […] Ainsi le bon goût se déprave, et ce mal (résultant du surhaussement du prix des places) n’attaque pas seulement la jeunesse : on en voit atteints tous les citoyens dont la fortune a souffert.