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30. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

En les examinant de plus près, on les verra n’offrir que des sentiments dangereux, surtout pour la jeunesse. […] Ecoutons les leçons que l’on fait aux pères, et à ceux qui sont chargés de l’éducation de la jeunesse. […] Cela justifie encore ce que l’on vient de dire il y a un moment pour la jeunesse. […] Ici tout est dangereux, là tout est pur ; c’est un exercice utile à la jeunesse, c’est un plaisir qui contribue à son instruction. […] Poète par goût, plus que par étude, ce fut un feu de jeunesse, non la malignité de la fortune qui le fit Comédien.

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