Il avait obtenu autrefois une dispense pour pouvoir s’approprier les revenus des Bénéfices dont il avait joui dans sa première jeunesse, en distribuant aux pauvres une somme assez médiocre. […] Que notre jeunesse se laissait aller peu à peu à l’oisiveté des Grecs, et prenait leurs plaisirs, leurs exercices, et leurs sales amours, par l’autorité du Prince et du Sénat, qui ne se contentaient pas de souffrir les vices ; mais les commandaient. […] Que notre jeunesse se laissait aller peu à peu à l’oisiveté des Grecs, et prenait leurs plaisirs, leurs exercices, et leurs sales amours, par l’autorité du Prince, et du Sénat, qui ne se contentaient pas de souffrir les vices mais les commandaient. […] Tous sont-ils capables de cet emploi : et doit-on souffrir que chacun se mêle de conduire la jeunesse comme il lui plaira ? […] que ce soit une manière propre à instruire la jeunesse, de railler, et de noircir la réputation d’autrui avec impudence ; mais la jeunesse doit être élevée, ainsi qu’il convient à des personnes libres ; et sur toutes choses on lui doit apprendre à se garder de rien faire qui soit indécent. » « Ceux qui n’ont point l’honneur en recommandation Texte en grec.