Ils ne condamnent effectivement et ne rendent ridicules que certains défauts moins considerables, comme l’humeur difficile des vieillards, leur avarice, leur sévérité envers la jeunesse, leur facilité à se laisser tromper. […] Ajoutons que l’on apprend dans les Comédies mille mauvaises intrigues pour faire réussir ces mariages qui sont contre les Lois, soit pour gagner, ou pour tromper un père ; et que l’on y tourne toujours en ridicules ceux qui veulent corriger la jeunesse, et arrêter le cours de ses désordres.