« Au commencement du dix-septième siècle, sous Henri IV et Louis XIII, Hardy et Rotrou tirèrent, dit-on, du milieu des rues et des carrefours, la tragédie et la comédie : mais les poètes ne se ressentirent pas seulement de la corruption du siècle ; « ils l’augmentèrent encore, dit le président Hénault ; ils gâtaient l’esprit et le cœur des jeunes femmes par des vers libertins et des chansons licencieuses ».