distingue les jeux de théatre, tels qu’ils se faisoient autrefois pour inspirer l’amour (la vraie comédie, ludi qui in theatris agebantur ad excitandam luxuriam), des jeux de son temps, qui n’étoient que des discours facétieux, des contes, des vers, des jeux accompagnés de gestes plaisans (de lazzis), ce que le Droit Canon de vit. […] Il en est des divertissemens, jeux, spectacles, comme de toutes les autres actions humaines. […] Ceux-ci appartiennent à la vertu d’eutrapelie, ces jeux innocens eux-mêmes, S. […] de différentes espèces de jeux. […] distingue dans les jeux deux extrémités vicieuses.