Examinons maintenant l’autre point, qui consiste en la forme, et en l’apparat, dont on a accoutumé de représenter tels jeux. […] Augustin trouvait-il incroyable pour nous, ce désir forcené, dont brûlaient les Païens, envers les jeux Scéniques ? […] Peut-on nier, en conscience, que la fin de ces jeux, soit autre aujourd’hui ? […] » Le lecteur voie toute cette Epître, et il connaîtra, que nous ne sommes pas les premiers, qui appliquons cette Loi de Dieu, à la défense des jeux Comiques. […] [NDE] Constantin a aboli les sacrifices païens et, en 314, sciemment oublié de célébrer les jeux séculaires.