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304. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Qu’il choisisse à sa patrie les fêtes, les jeux, les spectacles qui lui conviennent ; c’est un soin que nous lui laissons. […] « Un barbare à qui l’on vantait la magnificence du cirque et des jeux établis à Rome, demanda : les Romains n’ont-ils ni femmes ni enfants ? […] Rousseau désapprouve avec raison ce jeu de mots, et il s’écrie : et voilà comme on avilit la vertu ! […] Quand même à la coquetterie des colombes se mêlerait un peu d’inconstance, ce serait encore un jeu de la nature dont vos yeux seraient égayés. […]  » Un si excellent écrivain peut-il vouloir faire passer en preuve d’une imputation flétrissante un tour d’expression qui n’est qu’un jeu de mots ?

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