Mais l’action théâtrale ne dure que deux heures, et l’art de l’intrigue consiste à réunir, sans affectation, dans ce court espace de temps, un assez grand nombre de situations, pour engager naturellement le caractère de l’avare à se développer en deux heures, comme dans la société il se développerait en six mois. […] Celles dont les peintures sont froides, les vers lâches, le coloris faible, les sentiments fades, l’intrigue languissante, les caractères mal dessinés ; celles, en deux mots, dont le comique manque de sel, ou le sérieux de pathétique.