L’Abbé d’Aubignac les définit : des propositions générales, qui ne tiennent à l’action théatrale que par application & par conséquence ; où l’on ne trouve que des discours qui sont seulement propres pour instruire le spectateur aux régles de la vie civile, & non pas pour expliquer quelques intrigues du théatre. […] Des maximes continuées pendant plusieurs vers, & embellies par l’éclat de la versification, ne sont donc autre chose que des brillans défauts, qui suspendent le cours de l’action & de l’intrigue ; sur-tout quand on les place comme aujourd’hui au milieu de la plus grande chaleur & des plus vives impressions.