Les Journaux, qui tous auraient dû s'élever contre cette pièce pour l'intérêt de la vertu, parmi tant d'éloges peu mérités dont ils la comblent, la donnent pour une heureuse découverte, et une nouvelle branche de l'art dramatique, qui en étend la sphère par un nouveau genre de pathétique qu'on appelle le sombre tragique, comme on a depuis peu imaginé le comique larmoyant. […] Mais est-il de l'intérêt public de rendre les gens tristes et sombres ?