Charles en fut instruit, & dit froidement : Je n’envie à mon ennemi, ni ses plaisirs, ni ses victoires. […] Quoique les sentimens des Princes sur la Religion ne doivent pas , dit Voltaire, influer sur les autres hommes, & que l’opinion d’un homme aussi peu instruit que Charles XII ne soit d’aucun poids dans cette matiere , il faut satisfaire la curiosité du public.