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10. (1765) Apologie du théâtre français pp. 1-4

***  J’ai choisi pour sujet notre Scène française ; Je n’ai pu choisir mieux pour atteindre aux Talents, Pour attendrir les cœurs et captiver les sens ; Elle ne produit rien qui n’instruise et ne plaise. […] ***  Ici c’est un Renard, dont la plume savante, Instruit en égayant ; et qui, par ses pinceaux, En caressant les cœurs, reprend tous leurs défauts.

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