Ne peut-on pas trouver quelques délassements agréables dans une lecture, dans quelques jeux d’usage, dans la fréquentation de ces sociétés choisies, où on a le spectacle de tous les talents et de toutes les vertus, où l’on rencontre des femmes qui ont l’avantage de plaire par leur mérite, mais qui savent en même temps inspirer tout le respect qui est dû à leur sexe ? […] « Admirons encore la réconciliation du genre humain avec Dieu le Père, par la médiation de son Fils ; le triomphe de la vérité sur l’erreur et l’imposture, celui de la mortification sur la volupté, de l’humilité sur la gloire du monde ; le mépris de la vie et des richesses que la religion nous inspire. […] « Ce spectacle, mûrement examiné, apportera la réforme dans les mœurs que le théâtre a corrompues, il inspirera du dégoût pour les amusements profanes.