Que penserait un Païen qui ayant été témoin pendant le carnaval de ces spectacles publics, de ces assemblées mondaines, de ces infinies séances au jeu, de ces repas dissolus, de ces nocturnes divertissements, de tout ce que le luxe le plus étudié et le plus poli inspire de mondanité ou de faste, entrerait dans nos Eglises deux jours après, et verrait aux pieds des Autels courber la tête sous la cendre, plusieurs de ceux qu’il aurait vu quelques heures devanta à la comédie ou au bal ?